mercredi 4 août 2010

Et un de plus


Salut,

Parce que je suis en forme je vous laisse découvrir cet article intéressant :

envie d'une soirée coquine ? 


Il me reste à vous souhaiter une bonne soirée, mesdames, mesdemoiselles..., et messieurs ! 

"Sous le signe du feu" partie 4


Voici la quatrième partie de cette nouvelle. Pour lire les autres parties : 

"Sous le signe du feu" partie 1 et "Sous le signe du feu" partie 2 et "Sous le signe du feu" partie 3


Cette sensation il la procurait à nombre de personnes : il était comme un Apollon humain, qui cherchait la sensualité des autres. Celle ci se manifestait indéniablement quand on posait un regard sur lui. Le corps de Léo était beau, ses cheveux courts, noirs, son teint légèrement halé, son visage juvénile était surmonté de quelques marques plus virils. Son sourire était discret mais permanent, accompagné de son regard, d'un vert émeraude, des yeux rieurs, des yeux gourmands, des yeux curieux, qui vous hypnotises pour vous emmener dans des coins perdus de votre esprit... Une exploration de vous même à travers ce regard, vous déconcerte, mais vous enivre également : on en ressort revigoré, heureux.

Le reste, on le découvrait souvent plus tard : la buée vous embrumissant les yeux et l'âme, il était souvent impossible de voir autre chose de Léo. Cette dernière partie était la partie cachée de l'iceberg : un corps élancé, musclé, des épaules droite et fortes, des jambes solides, grandes. Son dos galbé mettait en ses fesses en première ligne, des fesses musclées, rondes, des fesses que l'on veut croquer, que l'on veut saisir, des fesses de femmes. On essayait de scruter ce monument pour essayer d'y déceler la frontière de partage entre les deux hémisphères, d'y imaginer la ligne intime amenant à l'entrée exquise de ce corps pure. 

Léo, était un corps entretenue, épilé juste ce qu'il faut, propre. Son sexe, légèrement foncé, était bien visible, et trônait fièrement entre ses jambes, droit, imposant mais rassurant. Il n'était pas énorme, avait une taille moyenne, mais était beau. Il ne penchait sur aucun côté. Ses bourses, attachées en dessous, était uniformément proéminentes. Son gland, rose et scintillant enflait, décalotté, généreusement au sommet d'un membre rond, ni trop large ni trop long mais affriolant. L'odeur suave, muscée mais fraîche et sucré qui émanait de ce corps et de ce sexe nous montait à la tête, comme les parfums enivrants de nectars appétissants. Même la plus prude des femmes, le plus macho des hétéros n'auraient pu résister à l'envie de s'en emparer et de l'engloutir. C'est à cet instant que tous vos sens s'éveillent brusquement !