samedi 16 avril 2011

"Sous le signe du feu" partie 6



Bonjour à vous amis libertins.

Voici une grosse partie (sans mauvais jeu de mots) de cette nouvelle. Attention au sexe !


Tous les jours, Léo jouait à ce jeu, et presque tous les jours il avait sa dose de jouissance, sa dose de sexe. Les jours sans étaient des jours familiaux, de travail, de fatigue ou de maladie.

Il aimait surtout deux situations : La première était celle de la rencontre dans un parc. La deuxième était celle de la séduction chez des amis. Il se rappelait vraiment les plus beaux moments qu'il a passé dans ces deux situations. Ces souvenirs lui donnent toujours plus de vigueur dans la recherche d'autres plaisirs équivalents.

Quand il va au parc par les jours de beaux temps, il scrute, il épie, il ressent les émotions, la volupté chez toutes les personnes qu'il voyait : jeunes filles à peine déflorées, mére de famille à la recherche d'un renouveau orgasmique, jeunes hommes et jeunes femmes doutant encore de leur sexualité et découvrant par jeu les délices de la libido.

Ah les jeunes filles, qui, en groupes, assises sur l'herbe, parlent de mecs, de sexe, avec les connaissances de ce qu'elles lisent dans des magazines stéréotypés et insipides. Elles se posent des questions et dégagent une fraîcheur et un désir d'apprendre qui n'a d'égale que leurs parfums délicieusement sucrés. Léo se rappelle en les voyant, ses premier ébats sexuels, ses premières fellations, ses premiers cunnilingus. Il était novice mais mettais du cœur à l'ouvrage. Il savait déjà s'y prendre, sans brusquer, doucement, délicatement, mais fermement. Il avait choisi de d'abord procurer du plaisir à l'autre. Ce qui veut dire de longs préliminaires, parfois, même, il n'allait pas plus loin. Il était devenu ainsi un spécialiste avec sa langue de chat. Il savait jouer du clitoris avec son doigt et sa langue, ne pas aller trop vite, ralentir quand il fallait, accélérer quand elle le désirait, de tout son être, de tout sont sexe.

Elle, s'appelait Fanny. Elle était brune, petite, avait des grands yeux noisettes et une peau blanche comme les nuages. Ses seins étaient déjà formés, elle avait 16 ans, lui 17. C'était une fille de son quartier qu'il voyait de temps en temps avec ses amis. Il se rappelle l'avoir invité à aller voir une exposition d'art moderne alors que leurs amis étaient partis, peut-être rentrés, peut-être pas intéressés par des peintures.

Ce qui l'amena ainsi à l'inviter chez lui après l'exposition. Bien sûr, elle était déjà venu, mais jamais seule. Ce jour là, il faisait beau et chaud. Le soir, une brise fraîche soufflait à travers la chambre ; la fenêtre ouverte, les rideaux fermés respiraient au même rythme que les deux corps s'enlaçaient et s'embrassaient. Léo avait mis de la musique, Portishead ! La musique douce et lente, harmonisait l'atmosphère de la pièce : c'était leur toute première fois. Il l'embrassa, la caressa. Elle se laissa allé, portés par l'ambiance, les mains douces et vigoureuses de Léo, ses baisers langoureux et sucrés.

Ils étaient très excités, elle était un peu inquiète. Il l'avait remarqué et à donc fait en sorte qu'elle se détende, qu'elle prennent confiance en elle et en son partenaire. Ses mains parcouraient son corps, sa tête, sa nuque, ses épaules, son dos, alors que ses baisers effleuraient sa bouche, son cou, ses oreilles. Il glissa sa main gauche doucement en dessous de son petit haut, lui caressa le dos, toucha les bretelles de son soutien gorge, descendit la main près des hanches, alors que de l'autre, il maintenant et caressait son visage et sa nuque.

Elle était vêtue d'un short en jean délavé, très à la mode à cette époque. Il glissa ma main sur ses jambes nues, remonta aux cuisses, effleura du bout des doigts ses fesses. Sa main droite tenait encore vigoureusement la tête de Fanny, qui de plus en plus se penchait en arrière, pour découvrir sa gorge. A ce moment, Léo su qu'elle était en confiance. Il franchit alors une étape. Sa main gauche caressa alors les fesses rondes et musclées de l'adolescente. Sa main droite passa en dessous du T-Shirt et vint caresser les seins fermes de Fanny. Excitée par les caresses et les baisers , elle enleva son haut d'une rapidité déconcertante. Léo empoigna son sein gauche avec la main droite, dégrafa son soutien gorge de l'autre, il descendit sa bouche en direction des mamelons sans oublier de de passer par le cou, de lécher de croquer ses épaules. Il mordilla les tétons et les suça pendant que ses mains commencèrent à caresser le sexe de Fanny. Celle-ci, lancée mais encore intimidée par ce flot de nouvelles émotions, palpa doucement la verge de Léo, dure, enfermée dans son pantalon.

Il défi le short de Fanny, glissa sa main à l'intérieur, d'abord sur le sous-vêtement, un string en coton, dentelé. Il appuya délicatement son pouce sur son vagin, et frotta doucement, du pubis à l'anus. Elle trouva alors le courage d'ouvrir le pantalon et d'empoigner le pénis de Léo : elle ne savait pas vraiment quoi en faire, et le tint fermement, en branlant de temps à autre, au sursaut d'un orgasme.

Son short baissé, enlevé, Léo, toujours suçant les mamelons rose de Fanny, tenait et caressait les fesses nues avec sa main droite, le majeur titillant le sphincter, sa main gauche rentré dans la string, caressant les lèvres et le clitoris humides de son sexe. Il lui enleva alors le sous-vêtement restant, et profita de sa position pour embrasser et lécher son nombril, l'aine épilée de Fanny, pour venir poser sa langue sur le bouton rose de l'orgasme féminin. Elle se coucha alors sur le lit, écarta les jambes laissant le soin à Léo d'admirer, dans le clair obscure de la pièce la sexe rose, mouillé, dilaté et le clitoris, point culminant se son sexe.

Il y engouffra sa langue, et lécha soigneusement l'intégralité. Délicatement, au rythme de la basse de Portishead, il lécha les lèvres, aspira le clitoris, enfonça sa langue dans le vagin. Celle-ci descendit, presque fortuitement sur l'anus rosé de Fanny. Il le lécha également et y enfourna la langue quand celui ci fût près à s'ouvrir.

Fanny gémissait, haletait, se caressait partout, en complément des caresses de Léo. Sa tête basculait d'avant en arrière, de gauche à droite. Une chaleur l'envahit, son corps se mis à frémir, elle bouillait intérieurement. La pression montait et était maintenue par Léo qui avait alors commencé à introduire délicatement son index dans le vagin complétement dilaté, près à accueillir une verge. Il continua son cunnilingus et elle attrapa sa tête en signe comme pour s'accrocher à quelque chose, tout en lui montrant qu'elle allait jouïr. Il accéléra alors la manœuvre, utilisa pleinement sa langue et ses doigts : un dans le vagin, l'autre dans l'anus, elle haletait, ses cris se fîrent de plus en plus aigus, de plus en plus forts, le rythme de la musique était rompu, sa tête et ses yeux se troublèrent, elle ne savait plus où elle était, ce qui se passait, avec qui elle était. Une chaleur intense envahit sa tête. Elle ne sentait que son plaisir, l'arrivée de son premier orgasme, la langue chaude de Léo sur son sexe qu'elle sentait tout humide, et, tout à coup, d'un tressaillement, une explosion survint dans son corps, une explosion de chaleur, un envahissement de sentiments inconnus et indéfinissables qui fûrent accompagnées d'un cri d'extase.

Léo marqua un temps d'arrêt et repris doucement ses caresses, délicatement, en ralentissant au fur à mesure que le corps de Fanny se calmait, au rythme revenu de la musique. Fanny, se calma, heureuse, releva sa tête, ses yeux pétillaient de plaisir, elle pinçait ses lèvres avec ses dents et au moment où elle posa le regard sur la verge dure de Léo qui sortait de sont pantalon, il vit qu'elle n'était pas rassasiée et qu'elle en redemandait encore.